On a retrouvé la 7e compagnie (TF1) : pourquoi Henri Guybet (Tassin) a hésité à remplacer Aldo Maccione
Ce jeudi 16 avril à 21h05, TF1 rediffuse On a retrouvé la 7e compagnie. Le second volet des aventures du chef Chaudard et de Pitivier est marqué par l’arrivée d’un nouveau comédien dans la peau de Tassin.
Dans un souci de conserver son stock d’épisodes, TF1 a fait le choix d’interrompre la saison 10 de Profilage deux semaines seulement après son lancement. Après une spéciale autour d’Edouard Philippe, la chaîne de Gilles Pélisson a dégainé une offre cinéma pour occuper ses téléspectateurs le jeudi soir.
Une 7e compagnie éternelle
La 7e compagnie, dont la diffusion était initialement prévue sur TMC, a une fois de plus prouvé son succès le jeudi 9 avril. Mais où est donc passée la 7e compagnie ? s’est positionnée large leader en déchaînant 6.7 millions de téléspectateurs. Pierre Mondy et Jean Lefebrvre tenteront de confirmer cette dynamique avec le second volet de la trilogie de Robert Lamoureux. On a retrouvé la 7e compagnie sera à redécouvrir ce jeudi 16 avril à partir de 21h05.
Un nouveau succès commercial
La comédie, sortie dans les salles obscures en 1975, a recueilli les suffrages de plus de 3.7 millions de spectateurs. Elle met en scène les rescapés de la 7e compagnie. Ces derniers tentent de rejoindre le sud de la France, mais sont à nouveau capturés par les Allemands. Comme ils ont revêtu des tenues d’officiers, le maréchal des logis-chef Chaudard, le lieutenant Duvauchel et les soldats Pitivier et Tassin sont traités avec égard. Ils retrouvent le gros de l’état-major français en attendant d’être envoyés en Allemagne. Ils ont tous la même idée : s’évader...
Une suite, ça marche rarement..."
Si Pierre Mondy et Jean Lefebvre ont repris leurs rôles de Chaudard et Pitivier, Aldo Maccione n’a pas transformé l’essai. Le comédien italien n’a pas souhaité rempiler, laissant Henri Guybet, star des Aventures de Rabbi avec Louis de Funès, se glisser sous les traits de Tassin.
Alors que le premier n’était pas emballé à l’idée d’une seconde partie, son successeur a hésité à rejoindre la troupe. « Quand la Gaumont m’a proposé de tourner la suite, je me suis dit : ’Ils sont fous, les deuxièmes parties, ça marche rarement », s’est souvenu Henri Guybet pour TV Mag.
Finalement, il s’est laissé convaincre par la plume de Robert Lamoureux et le tournage lui a rapidement permis de comprendre qu’il avait bien fait. « C’est en commençant à tourner le film que je me suis rendu compte que ça allait être très drôle, encore plus qu’à la lecture », a-t-il précisé.