« Ça a été le calvaire de ma vie… » Cyril dévoile le traumatisme qui l’a bouleversé pendant 20 ans dans L’amour est dans le pré
Dans la nouvelle salve de portraits de L’amour est dans le pré diffusée le lundi 22 janvier 2024 sur M6, Karine Le Marchand va rencontrer Cyril. Celui-ci va lui révéler ce qui le traumatise depuis l’adolescence.
Le lundi 22 janvier 2024, les téléspectateurs de M6 vont découvrir les cinq dernières personnes formant le casting de cette saison 19 de L’amour est dans le pré . Le principe reste le même : si un profil leur plaît, ils peuvent lui envoyer une lettre ou une vidéo afin d’avoir la possibilité de le rencontrer.
Le début de l’épisode est consacré à Guy, un éleveur de vaches du Pays-de-la-Loire. Son dynamisme perturbe grandement Karine Le Marchand, mais elle ne tarde pas à découvrir que cela lui vient d’une blessure d’enfance et qu’elle lui sert à cacher une grande sensibilité.
Karine Le Marchand impressionne les participants sur M6
Par la suite, les téléspectateurs pourront découvrir, Cyril, un viticulteur qui vient rencontrer l’animatrice. Cette dernière, qui a récemment craint être attaquée, note que son interlocuteur la dévisage lors de leur rencontre, mais celui-ci la rassure en précisant qu’il la trouve magnifique.
Karine Le Marchand trouve le candidat un peu tétanisé : « J’ai l’impression que cette année, c’est la saison des gens qui ont peur de moi ». Cyril précise qu’il est plutôt impressionné par le contexte. Il présente ensuite son activité, un vignoble appartenant à sa famille dont il est fier de s’occuper avec Jérémy, son frère jumeau.
Cyril marqué mentalement dans L’amour est dans le pré
Contrairement à son frère, Cyril est célibataire, et le doit notamment à sa grande timidité. Pendant son adolescence, il avait de l’acné sur le visage, ce qui lui a enlevé toute confiance en lui. Son image dans la glace le dégoutait, et ses parents l’ont donc emmené voir un dermatologue.
Ce dernier lui a donné des médicaments, mais Cyril n’a jamais voulu les prendre en raison des effets secondaires. Cette acné est ensuite restée jusqu’à ses 35 ans, ce qu’il décrit comme un « calvaire ». Karine Le Marchand a du mal à y croire, et note ensuite qu’il n’en a pas gardé de séquelles sur le visage.