Plus belle la vie : Morgane Frioux (Ophélie) révèle les dessous de sa préparation pour son rôle sur TF1
Interprète d’Ophélie Kepler, une jeune femme souffrant d’agoraphobie, dans Plus belle la vie, encore plus belle sur TF1, Morgane Frioux est consciente de la responsabilité qui pèse sur ses épaules et s’est donné les moyens de marquer la série.
Au mois de février 2024, un nouveau personnage a fait son apparition dans Plus belle la vie, encore plus belle sur TF1 : Ophélie. Celle-ci est la fille de Vanessa Kepler, et la sœur d’Ulysse. Les Kepler sont une famille très riche, qui s’est notamment démarquée en faisant don d’un collier d’une valeur inestimable au Mistral.
Aya devient amie avec Ophélie, mais se rend compte que quelque chose cloche : elle ne sort jamais de chez elle. Elle ne tarde pas à découvrir pourquoi : Ophélie est agoraphobe, et ne supporte pas le fait d’être à l’extérieur. Aya va alors tout faire pour aider sa nouvelle amie, contre l’avis de Vanessa.
Ophélie, un personnage énigmatique sur TF1
Interprète d’Ophélie, Morgane Frioux présente son personnage : « C’est une jeune fille de 20 ans très sensible et douce, qui a aussi pas mal d’humour. Elle se pose des questions sur l’amour, la recherche d’un petit ami… Elle est passionnée de mode et dessine beaucoup ».
Pour représenter au mieux l’agoraphobie donc souffre Ophélie, la comédienne s’est bien préparée : « J’ai fait beaucoup de recherches : j’ai écouté des podcasts, des témoignages de malades parlant de la souffrance, des crises de panique... ».
Morgane Frioux prend son rôle très à cœur
Le soucis du détail était important pour elle : « J’ai aussi fait un travail sur la respiration. Je voulais vraiment montrer la réalité, et il était important pour moi que les gens concernés se sentent moins seuls. C’est comme si j’avais pour mission de leur donner un peu d’espoir ».
Cette volonté de représentation des personnes parfois oubliées est très important pour Morgane Frioux : « Plus belle la vie a traité de nombreux thèmes dont on ne parlait pas à l’époque, comme les droits de la communauté LGBT. Je veux faire ce métier depuis toute petite, car j’ai très vite remarqué que l’on peur apporter beaucoup aux gens, directement dans leur salon ».