Plus belle la vie : la grosse gaffe des scénaristes avec Nathan Leserman
En pleine intrigue Pavel, le feuilleton Plus belle la vie mise sur une intrigue plus légère avec le retour de Jimmy Moon. À tord, Nathan est présenté comme un personnage totalement incapable avec les filles.
3.49 millions de Français ont suivi la dernière aventure de Plus belle la vie diffusée par France 3 le lundi 20 avril. La part de marché a atteint 12.2% alors que l’intrigue sur Pavel est sur le point de s’achever.
Jimmy Moon, un personnage perché
Au-delà des différents rebondissements autour du face-à-face opposant le caïd à Irina, le Mistral a salué le retour de l’excentrique Jimmy Moon. Lors de sa dernière apparition, il avait couché avec Blanche, dont il était tombé éperdument amoureux. Mais celle-ci l’avait débouté alors qu’il l’a suppliait à genoux et sous la pluie de partager son amour. En vain.
C’est un Jimmy Moon requinqué, un brin assagi mais au langage toujours aussi fleuri qui a donc décider de mener Léo et trois de ses complices sur la voie de l’amour, soit Rochat, Franck et Nathan. Les scènes se veulent légères et humoristiques au milieu d’un climat de violence entourant Andrès, Luna, Irina et les enquêteurs du commissariat. L’ex-compagnon de Sabrina a même demandé à ses troupes de personnifier leur sexe.
Non, Nathan n’est pas un loser avec les filles
Alors que Léo et Claire devraient conclure, le cas de Nathan pose question. Le professeur d’anglais est l’un des meubles du feuilleton, arrivé moins d’un an après le tout premier épisode de Plus belle la vie. À l’occasion du quinzième anniversaire,une étude statistique avait notamment indiqué que le fils de Guillaume était celui qui pouvait se targuer d’avoir obtenu le plus de conquêtes. La timide Aurélie et la geek Stéphanie sont les deux dernières jeunes femmes à avoir craqué pour l’ancien cancre.
Or, dans cette intrigue autour du coach Moon, Nathan indique que la difficulté pour lui n’est pas de garder ses petites amies, mais plutôt de les trouver. C’est tout le contraire. De plus, au moment d’écrire une lettre résumant leur parcours affectif, le professeur s’est exclamé qu’il ne pourrait pas écrire dix lignes en indiquant le nom de ses petites amies. Des incohérences qui font tâche alors que les téléspectateurs relèvent fréquemment quelques cafouillages sur le passif de personnages qui se tutoient puis se vouvoient avant de retourner au tutoiement et ainsi de suite.