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Léa Salamé : Pourquoi elle a eu très peur sur France 2

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Rédactrice - Experte TV & Divertissements
Publié le 28/07/2024 à 18:25

Léa Salamé a dressé le bilan de la saison 2 de Quelle époque, quelques jours avant de prendre les commandes du talk quotidien des JO 2024, Quels jeux !. La star montante de la chaine a avoué avoir eu peur. On vous explique pourquoi.

Léa Salamé était pour la deuxième saison consécutive aux commandes de son émission Quelle époque ! diffusée le samedi soir en deuxième partie de soirée. La présentatrice qui est accompagnée tous les week-ends de Christophe Dechavanne a su surprendre les téléspectateurs avec des invités incontournables de la scène culturelle, mais aussi politique, qui se sont livrés sans détour sur son plateau.

Si de nombreux animateurs sont maintenant partis en vacances, ce n’est pas le cas de Léa Salamé qui sera tout l’été aux manettes de Quels jeux dès ce samedi 27 juillet 2024 à l’occasion des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024. Elle commentera du lundi au dimanche dès 23h20 sur France 2 les temps forts de la journée de la compétition avec à ses côtés Laurent Luyat.

Léa Salamé dévoile sa peur avant le lancement de la deuxième saison de Quelle époque !

Léa Salamé a récemment accordé une interview dans les colonnes du magazine Télé-Loisirs. La présentatrice a révélé à nos confrères avoir eu particulièrement peur avant le lancement de la deuxième saison de Quelle époque ! à la rentrée 2023. « On avait peur que l’effet nouveauté s’estompe après la première saison, mais le public était bien là », a-t-elle partagé.

Et de poursuivre à propos de son émission : « J’ai l’impression qu’on s’y lâche et qu’on y dit des choses qu’on ne peut pas dire à 19 heures. C’est un format impertinent et insolent. Le challenge va être que le public nous suive à nouveau à la rentrée... »

Léa Salamé revient sur les nombreuses critiques sur son émission

La présentatrice est également revenue sur les nombreuses critiques que reçoit l’émission. « On ne peut pas être en première ligne, aspirer à être regardé par le plus grand nombre et plaire à tout le monde. Je fais un métier qui me rend heureuse et j’accepte les critiques. Parfois, ça fait mal... comme après ce que j’ai dit à Artus [en avril, elle avait demandé à l’humoriste s’il n’était pas devenu ’chiant’ après avoir arrêté de boire de l’alcool, NDLR] », a-t-elle confié.

Léa Salamé a une nouvelle fois pris la défense de Christophe Dechavanne en assurant ne pas avoir « le sentiment qu’il prenne la place de quiconque ou, pour dire les choses franchement, qu’il me fasse de l’ombre ». « Christophe parle quand il veut, je n’ai pas envie de le canaliser. Par ailleurs, il entend les critiques, notamment sur le fait qu’il couperait peut-être un peu trop la parole, et il me semble que ça allait beaucoup mieux dans les derniers numéros », a-t-elle conclu.