Anne-Sophie Lapix : elle ne compte pas partir et le fait savoir
Elle y est et compte bien y rester. Anne-Sophie Lapix, aux manettes du 20 heures de France 2, a affirmé son désir de se maintenir à cette place alors que la journaliste ne parvient pas à tenir la distance face à Gilles Bouleau (TF1).
La question ne lui a pas été posée par Julien Lepers, ni Samuel Etienne, et pourtant c’est par un simple « Je reste ! » que la journaliste Anne-Sophie Lapix a voulu couper court aux rumeurs qui l’envoient sur BFMTV pour la saison 2025-2026.
Interrogée par Le Parisien, qui a proposé un article sur le prochain mercato estival du petit écran, la journaliste de 52 ans a confirmé qu’elle prolongeait son bail à la tête du 20 heures de France 2. Une fonction qui est la sienne depuis huit ans, quand bien même elle s’accordait à dire dans une interview réalisée par TV Magazine qu’elle restait généralement cinq ans sur un même poste.
Anne-Sophie Lapix à l’ombre de Gilles Bouleau
Ces rumeurs de départ n’ont pas été alimentées par la principale intéressée, mais reviennent comme un marronnier quand sonne le bilan des audiences. Et depuis l’arrivée d’Anne-Sophie Lapix face à un Gilles Bouleau solide comme un roc, France 2 n’a pas été en mesure de réduire l’écart avec sa concurrente. L’allongement de 15 minutes à la rentrée 2024 du rendez-vous d’information n’a pas eu les effets escomptés.
Ce mardi 25 mars 2025, le JT de TF1 a pu compter sur 5.21 millions de curieux et 26.2 % du public âgé de 4 ans et plus, contre 3.87 millions (19.5 %) pour le 20 heures de France 2 jusqu’à 20h30, avant que la partie suivante n’intéresse 3.58 millions de téléspectateurs (17.9 %).
Volodymyr Zelensky invité sur France 2
L’information est au cœur du prime de France 2, ce mercredi 26 mars. En effet, Caroline Roux - que des rumeurs annoncent comme la future reine du 20 heures -, mènera un entretien exceptionnel avec le président ukrainien, Volodymyr Zelensky. L’animatrice de C dans l’air représentera France Télévisions dans le cadre du « Sommet sur la paix et la sécurité pour l’Ukraine », organisé le lendemain à Paris.