Vivre sans eux (France 2) : une histoire vraie de disparitions croisées pour Bernard Le Coq et Esther Garrel
France 2 diffuse en inédit Vivre sans eux, téléfilm dans lequel le personnage de Bernard Le Coq collabore avec une jeune femme, tous deux à la recherche d’un être cher mystérieusement disparu.
Inspirée de faits réels, la fiction Vivre sans eux est à suivre en inédit à partir de 21h05 ce mercredi 8 avril sur France 2. Loin du père « Formidable » qu’il a incarné durant un quart de siècle sur TF1, Bernard Le Coq campe Martin Calbert, à la recherche désespérée d’un fils qu’il a renié lorsque celui-ci s’est travesti.
Voilà onze ans que Martin ne parle plus à son fils Aurélien. Lorsqu’il a appris que celui-ci se travestissait, il est entré dans une rage folle et a écopé d’une injonction d’éloignement. En manque de son père, Aurélien décide de renouer avec son père et lui donne rendez-vous dans la luxueuse demeure de son petit ami, un homme plus âgé. Martin décide de s’y rendre, mais sur place, il tombe sur Olivier et Solène Mauclair qui assurent être les propriétaires des lieux après avoir racheté la maison. Alors que la police refuse de l’aider dans sa quête de vérité, le sexagénaire rencontre une jeune fille effrontée prénommée Adèle dont le père a lui aussi disparu.
« Un scénario habile avec une tension remarquable »
Ce polar, réalisé par Jacques Maillot et inspiré librement d’un faits divers, a été tourné à Strasbourg. Bernard Le Coq a accordé une interview à Ouest France pour promouvoir l’événement. Au-delà de l’intrigue, c’est aussi la maladie du personnage principal qui est mise en avant. Pour l’ancien partenaire d’Anny Duperey, il était important d’y accorder une grande importance : « Quand on raconte une histoire, j’aime que l’on plonge dans le réel, le quotidien, que l’on soit emporté par le désir de raconter quelque chose de touchant pour éclairer les gens sur l’existence ». L’acteur a expliqué pourquoi ce projet l’a séduit : « Vivre sans eux raconte quelque chose de profond, dense sur des personnes qui se sont coupées d’autres : celui que je joue avec son fils, la jeune fille avec son père. Le scénario est habile, avec une tension, une ambiguïté remarquables ».