Virgil (Les Princes et princesses de l’amour) : « Avec Hillary, la cohabitation a été très difficile »

Benoît Mandin : Pourquoi avoir accepté de participer aux Princes et princesses de l’amour ?

Virgil : J’ai regardé la quatrième saison des Princes de l’amour. Je me suis dit que c’était un programme qui allait me permettre de grandir et de rencontrer des filles différentes de celles que je rencontre habituellement.

Avez-vous eu des appréhensions avant le début du tournage ?

Outre des interrogations sur mes prétendantes, je redoutais de me trouver face à mon ex Hillary. Je ne savais pas comment allaient se passer les retrouvailles et la cohabitation. Je redoutais aussi le moment où des garçons allaient la séduire devant moi. Finalement, je pense que le public va être surpris.

Quels critères vous étiez-vous fixés ?

Je recherchais une fille différente d’Hillary parce que je suis tombé hyper amoureux d’elle et ça n’a pas fonctionné. Je voulais une fille gentille, plus facile à vivre et à l’opposé d’Hillary au niveau physique.

Dans quel état d’esprit étiez-vous lors de vos retrouvailles avec Hillary ?

J’ai appris sa participation un mois avant le début du tournage. Nous étions dans une période où on se lançait des piques à travers les réseaux sociaux. On a fortement redouté ce qui allait pouvoir se passer lors de notre arrivée en Corse. Dès le premier épisode, les tensions sont apparues… La venue d’Hillary a accéléré ma participation à l’émission, car je me suis dit que le fait de se retrouver tous les deux dans la même aventure allait me permettre de tourner la page.

Vous attendiez-vous à des retrouvailles aussi glaciales ?

Je n’ai pas été surpris, car Hillary est rancunière. Je lui ai beaucoup fait la misère après notre séparation et je trouve qu’elle a eu une bonne réaction. Je suis arrivé en mode « peace et love », mais il était important que l’on perce l’abcès. J’ai pour habitude de fuir les problèmes au lieu de les affronter. Elle a refusé de me dire bonjour donc le règlement de compte était nécessaire !

« Je voulais une fille gentille, plus facile à vivre et l’opposé d’Hillary au niveau physique »

Comment avez-vous géré le fait de voir Hillary se faire draguer sous vos yeux ?

Je me suis vraiment demandé à ce moment-là si ma place était vraiment dans cette aventure. Je comprends que je vais mal vivre le fait de voir des hommes venir séduire mon ex alors que je suis impuissant. Je me suis fait une raison et je me devais de regarder la vérité en face sur mon histoire avec Hillary. La cohabitation avec elle a été vraiment été très difficile.

Que pensez-vous des nouveautés de la saison 5 ?

W9 a eu une très belle idée en allant chercher trois princes totalement différents et d’y ajouter trois princesses. Le concept est révolutionnaire et je pense que la chaîne va enregistrer des cartons d’audience.

Qu’avez-vous retenu de cette expérience ?

Que dans la vie tout est possible !

Diriez-vous que la notoriété amenée par la télé-réalité est une force ou une faiblesse pour trouver l’amour ?

Ça peut être les deux à la fois. Lorsque l’on a de la notoriété, les filles ne sont pas forcément intéressées par nous. Les avis extérieurs peuvent nous permettre de faire la différence entre celles qui sont là pour la notoriété et celles qui sont réellement là pour nous. Je gère cette notoriété depuis un an et demi. Au départ, cela a été très compliqué parce qu’il y a fallu apprendre à vivre avec. J’y finis par m’y habituer et tout se passe bien pour moi.

Quelle importance apportez-vous au regard du public sur les réseaux sociaux ?

Je n’y accorde pas trop d’importance parce que je n’étais pas très bien perçu dans mes premières émissions de télé-réalité. Je suis content que le public m’apprécie aujourd’hui, mais ce n’est ça qui va changer ma vie. Ma famille et mes amis sont ceux qui comptent le plus pour moi.

Qu’est-ce que la télé-réalité vous a changé dans votre vie  ?

Elle m’a ouvert d’esprit et fait grandir. La télé-réalité m’a fait comprendre qu’il ne fallait pas être trop gentil avec les gens, car cela peut s’avérer ne pas être une qualité. Pour bien gérer la notoriété, il ne faut pas être fragile et être bien accroché face aux critiques des internautes. Ce n’est pas commun se faire soit insulter soit aduler par un groupe dans la rue.