Vendredi vérité (C8) : comment Patrick Sabatier va faire avouer PPDA
Après avoir reçu Cyril Hanouna dans On se retrouve chez Sabatier, Patrick Sabatier devait prendre les commandes de Vendredi vérité : 60 minutes chrono le 25 janvier sur C8. L’émission a été déprogrammée en raison d’un désistement au dernier moment de l’invité, Yann Moix.
« Yann Moix a eu, disons, un petit coup de mou. Je n’ai pas eu d’explications et je n’ai pas cherché à en avoir », a expliqué Patrick Sabatier à TV Mag, tout en promettant un « nouveau numéro avec Yann Moix ». Mais l’ex-visage de France 2 n’a pas dit son dernier mot puisque Vendredi vérité : 60 minutes chrono sera officiellement lancé ce vendredi 15 février à 21 heures sur C8. Pour cette première, il recevra Patrick Poivre d’Arvor, ex-présentateur vedette du 20 heures de TF1.
Après avoir fait face à son entourage familial ou professionnel, le journaliste de CNews sera confronté à des visages familiers des téléspectateurs de C8. Pour la troisième séquence de l’émission, PPDA se retrouvera avec des personnes du public et les téléspectateurs. Des journalistes qui ont écrit sur lui précéderont un retour sur les événements qui ont marqué la semaine écoulée. Vendredi vérité : 60 secondes chrono s’achèvera par un entretien intimiste entre Patrick Sabatier et son invité.
« Patrick Poivre d’Arvor a une carrière dense, riche et variée. Il a fait de la télé, de la radio, il a écrit des livres, mis en scène de l’opéra et a aussi été comédien. C’est quelqu’un qu’on connaît et qui a beaucoup parlé déjà, mais je crois que l’émission va porter un autre regard sur lui, plus humain, plus proche », a souligné Patrick Sabatier à nos confrères de TV Mag. Bien qu’elle soit inspirée de son célèbre Jeu de la vérité, diffusée dans les années 80 sur TF1, l’émission ne disposera pas de jokers. « Le standard téléphonique de C8 est ouvert depuis quelques jours et je sais qu’il y a beaucoup de questions lui demandant notamment comment il a pu faire pour présenter le journal le jour de l’enterrement de sa fille. Il y répondra », a conclu Patrick Sabatier.