Qui veut être mon associé : Un investisseur historique claque la porte et critique la production
Un investisseur de Qui veut être mon associé, présent depuis trois saisons, a acté son départ de l’émission qui revient pour une 5e saison ce mercredi 5 février 2025 sur M6.
Mercredi 5 février 2025, M6 dégaine la saison 5 de Qui veut être mon associé ? à partir de 21h10. Le divertissement, qui réunit investisseurs et les entrepreneurs les plus créatifs, connait quelques changements de taille. Notamment du côté du casting.
Aux côtés de Marc Simoncini, Éric Larchevêque, Anthony Bourbon et Kelly Massol, trois petits nouveaux viennent renforcer les rangs de l’émission : Alice Lhabiuz, Jean-Michel Karam et Julian Jacob. Ils remplacent numériquement Tony Parker, Stéphanie Delestre et Jean-Pierre Nadir.
Jean-Pierre Nadir « ne partage pas toujours le montage » de Qui veut être mon associé ?
Ce dernier, à qui l’on doit le portail web Easyvoyage.com, s’est épanché sur les raisons de son départ dans un post LinkedIn publié cette automne.
« Le tournage de #QVEMA a recommencé pour le cru 2025 ! Mais, cette année, ce sera sans moi les amis… », avait commencé le sexagénaire sur son réseau social. « La conséquence de ces 3 ans à m’impliquer à fond dans l’émission, c’est que je ne suis pas en capacité de m’investir plus. Parce que c’était hors de question de participer sans pouvoir m’engager pleinement aux côtés des candidats », a justifié Jean-Pierre Nadir qui a ensuite critiqué la production pour justifier son choix de claquer la porte.
90 secondes pour les entrepreneurs
« Je ne partage pas toujours le montage de l’émission et les choix éditoriaux », a concédé l’homme d’affaires. « Quand on passe 1h30 avec chaque candidat, les 15/18 minutes qu’il en reste à l’écran ne me donnent pas toujours satisfaction et au-delà, certains choix de pitch trop dans l’émotion me semblent parfois trop télé et moins dans ma réalité… », a finalement observé Jean-Pierre Nadir qui s’arrête donc à trois salves.
Pour cette saison 5, la pression est accentuée sur les entrepreneurs qui ne disposeront que de 90 secondes pour convaincre un investisseur d’adhérer à leur projet. Il faudra être concis et taper rapidement dans l’oeil du jury pour susciter le désir.