Nagui passe en force, coup de tonnerre pour le maestro Benoît sur France 2


Nagui était aux commandes de deux nouveaux opus de N’oubliez pas les paroles, samedi 25 janvier 2025 sur France 2. L’occasion pour Benoît de consolider son parcours record même si le maestro a peu brillé en finale.
Fort de ses 90 victoires dans N’oubliez pas les paroles, Benoît s’avançait en grand favori pour le premier duel présenté dans la soirée du samedi 25 janvier 2025 sur France 2.
Anthony, entré en scène à 18h40, avait bien connaissance de l’immensité de sa tâche. Le temps pour l’orchestre d’interpréter « Vingt ans » de Pierre Bachelet, « Les Champs-Élysées » de Joe Dassin, « Et un jour une femme » de Florent Pagny mais aussi « Que dieu me pardonne » du duo Kendji Girac / Claudio Capéo, le maestro a signé un 91e succès en disposant de son adversaire sur le score de 228 à 78. En finale, Benoît s’est montré moyennement confiant sur les choix de titres et joué la sécurité en ajoutant 1 000 euros à sa cagnotte record.
Benoît se contente du minimum en finale
Caroline, à son tour, a tenté de renverser le plus grand détenteur du micro d’argent. Benoît a mal commencé son match en faisant chou blanc sur son premier titre, mais son adversaire l’a imité sur un morceau de Fréro Delavega. Laissant son opportunité, Caroline s’est inclinée après que le maestro ait signé un sans faute sur le morceau « Les mots bleus » de Christophe.
Après cette 92e victoire, le maestro a répété le scénario de la précédente finale pour présenter une cagnotte s’élevant à 642 000 euros. Un samedi qui a donc vu le champion affaiblir sa moyenne dans cette seconde partie d’émission.
N’oubliez pas les paroles en forme
Nagui, lui, est passé en force en rassemblant 2,23 puis 2,96 millions de Français, correspondant à des parts de marché s’élevant à 16,2 et 19,3 %.
Si France 2 a laissé de côté la plupart de ses programmes ce lundi 27 janvier 2025 pour célébrer les 80 ans de la libération du camp d’Auschwitz, N’oubliez pas les paroles sera bel et bien au rendez-vous. Un coup de tonnerre car le jeu était déprogrammé dans un premier temps.