Michel Drucker (Vivement Dimanche / Le grand show de l’humour) : « Pourquoi j’ai décidé d’arrêter... »
Bien qu’il multiplie les projets, Michel Drucker a décidé d’arrêter de présenter des émissions bien précises. Explications.
A la veille d’un nouvel enchaînement Vivement dimanche et Vivement dimanche prochain, Michel Drucker retrouvera les honneurs du prime time ce samedi 22 février. Dès 21h05, France 2 lui confiera les commandes d’une nouvelle édition du Grand show de l’humour .
En concurrence avec la suite des auditions à l’aveugle de The Voice et la fiction de France 3, Michel Drucker jouera la carte du divertissement. Depuis la scène du Dôme de Paris, l’animateur emblématique de Champs-Elysées dévoilera les comiques préférés des Français ces dernières années. Le classement a été établi suite à un sondage national réalisé par l’institut IFOP au cours du mois de janvier. A l’issue de cette soirée placée sous le signe de la bonne humeur et de la dérision, l’humoriste plébiscité par le public sera couronné. L’émission sera ponctuée par les plus grands sketchs d’hier et d’aujourd’hui. L’occasion pour les téléspectateurs de retrouver des séquences devenues cultes avec Laurent Gerra, Michèle Bernier ou encore Anne Roumanoff.
Ces émissions qu’il ne veut plus présenter
Considéré par beaucoup comme le taulier de la télévision, Michel Drucker continue d’occuper les dimanches après-midis de France 2. Alors que l’heure de la retraite ne semble pas se profiler, l’animateur de 77 ans s’est confié au cours d’un documentaire qui lui a été consacré sur France 3. « Il y a déjà une chose que je vais commencer à arrêter, je le sens, ce sont les grandes émissions de divertissement où je présente pour la énième fois l’album de Michel Sardou et le dernier album de M. Pokora », a-t-il révélé, tout en considérant qu’il ne pouvait pas avoir l’âge du grand-père d’un chanteur. « Même si je suis debout et que j’ai un costume bien cintré, on ne peut pas non plus avoir l’âge du grand-père d’un chanteur dans une émission de divertissement », a souligné celui qui profile la fin de sa carrière au moment où sa mémoire commencera à être « défaillante ». Son âge-pivot ? Il le fixe à 90 ans...