Le grand concours de animateurs : Julien Arnaud gagne le trophée spécial 15 ans face à Cyril Féraud
C’est une histoire qui se répète. Pour la deuxième fois, Julien Arnaud a remporté le trophée du Grand concours des animateurs, dans un duel effréné face à Cyril Féraud… avec seulement un point de différence.
A noter que le journaliste de TF1 et LCI détient désormais un total de quatre victoires, cumulant alors le nombre record de trophées dans l’histoire de l’émission.
Jusqu’à cette quatrième victoire, il était également champion historique du programme, mais à égalité avec Alexandre Debanne (3 trophées : en 2009, 2010 et 2014) et Denis Brogniart.
Pour Toutelatele, les deux finalistes se sont confiés à chaud, sur l’issue de cette compétition anniversaire.
Julien Arnaud (4 trophées : février 2014, août 2014, février 2015, mai 2016)
Léopold Audebert : Comment avez-vous vécu la tension croissante durant cette finale ?
Ça a été un beau fight avec Cyril : c’est ça qui a été sympa ! C’est-à-dire qu’il a commencé à engorger les points et je me suis dit « Oulala, il faut vraiment prendre des risques ! » (rires). Du coup, j’ai pris les questions difficiles. La formule est assez marrante, et elle permet de se challenger. C’était super tendu, jusqu’au bout ! Tout comme en première et en troisième partie.
Selon vous, qu’est-ce qui a contribué à votre victoire, par rapport à Cyril Féraud ?
Un petit coup de bol. Il a eu un « trou d’air » sur une question, moi j’en avais eu un, un petit peu avant. Honnêtement c’est de la chance. La réponse sur Rabbi Jacob, il la connaît, ça ne lui vient pas à ce moment-là. Ça s’est joué sur un point ! En tout cas, c’était un beau mano a mano !
Cyril Féraud
Après être passé, une nouvelle fois, aussi prêt de la victoire, dans quel état d’esprit êtes-vous ?
Je commence à avoir l’habitude : ça fait deux fois que je perds contre Julien Arnaud à un point près ! Donc je pense que c’était écrit ! (rires)
Qu’est-ce qui, selon vous, vous a définitivement éloigné du trophée ?
C’est idiot d’avoir oublié Salomon, le chauffeur de Rabbi Jacob ! C’est dommage de l’avoir loupé… Mais je reviendrai la prochaine fois : je vais bien finir par le gagner, à force ! (rires)