La musique, une arme de propagande selon Adolf Hitler
Selon un dicton très populaire, « la musique adoucit les moeurs ». Pourtant, le temps de deux soirées, la chaîne Histoire propose de découvrir comment la musique a pu, par le passé, aider à la propagande d’idéologies meurtrières, que ce soit du nazisme ou du soviétisme.
Ainsi, le lundi 8 décembre, dès 20h50, un premier documentaire, inédit, retrace le parcours du Ténor d’Hitler : Max Lorenz, son favori, pourtant marié à une juive et homosexuel. A 21h45, place à Opéra et IIIe Reich, ou comment, grâce à cet art, démontrer une prétendue supériorité des nazis. Enfin, la soirée se clôt à 22h35 avec Le jazzman du goulag, ou la vie d’Eddie Rosner, juif errant banni d’Allemagne et institué « musicien d’Etat » par Staline.
Le lendemain, mardi 9 décembre, Histoire se penche sur les relations étroites entre la musique et le soviétisme. Coup d’envoi à 20h45, avec le portrait inédit du génie rebelle Chostakovitch. A 21h50, les Notes interdites résonnent et réchauffent le coeur des Russes, alors plongés dans une extrème pauvreté. Enfin, à 22h45, place à un deuxième portrait, celui de David Oistrakh, artiste populaire, un pur produit de l’éducation musicale soviétique...