L’Amour est dans le pré 8 > Présentation des 7 derniers agriculteurs

L’autre femme de la saison s’appelle Françoise. À 52 ans, elle est originaire de la région parisienne et a tout plaqué pour se consacrer à sa passion pour les chevaux. Elle a donc ouvert un centre équestre et est devenue monitrice d’équitation. Chaque semaine, elle accueille plus d’une centaine d’enfants. La blonde au tempérament de feu aime tester ses interlocuteurs, et ne va pas se priver avec Karine Le Marchand, qui, du reste, sera priée de monter à cheval. Très active et généreuse, Françoise a vécu pendant 15 ans avec un homme. Pour trouver un nouvel amour, ses amis l’ont inscrit à l’émission. « Je veux une relation plus paisible avec de vrais échanges, de vraies balades. Je veux avoir des sujets de discussion sur tout ». Françoise souhaite trouver un « homme gentil, drôle, énergique, et surtout pas plan-plan. » Ce qu’elle ne veut surtout pas ? Un jaloux !

Karine Le Marchand se rend en Haute-Marne pour retrouver Damien. À 36 ans, cet agriculteur jovial et généreux, qui vit entouré de toute sa famille, est éleveur de vaches et de poulets. Son frère, qui travaille avec lui, le décrit ainsi : « Il est très bordélique, il pense beaucoup à lui et est tête en l’air. » Il profite de la caméra pour ajouter qu’il ne veut pas d‘une « belle-sœur qui gueule ». Passionné de machines agricoles, Damien adore bricoler. Il aime les promenades, la piscine. Il aide également des adolescents en difficulté placés chez lui, et leur apprend à se réinsérer. Homme sensible, Damien n’a jamais vraiment su comment aborder une femme. Il a déjà vécu deux histoires d’amour, dont une qui a duré huit ans. La raison de la rupture ? « Trop de ménage tue le ménage » avouant que c’était une « maniaco-dépressive ». Et comme nouvelle amoureuse, il souhaite « du normal mince » qui « a du vécu », et si possible une fille de la campagne !

Direction la Bretagne pour rencontre Guillaume. Dans sa belle maison très moderne, qui fait dire à Karine Le Marchand que Valérie Damidot aurait pu passer par là, il est angoissé par l’idée de rester célibataire et veut trouver le grand amour. À 30 ans, toujours très proche de ses parents et de ses trois frères et sœurs, il est associé depuis trois ans dans la ferme familiale, en élevant des vaches laitières et poulets labélisés. Guillaume a toujours voulu faire ce métier. Sportif, il fait du foot depuis l’âge de cinq ans. Réservé, il a des difficultés à faire le premier pas. Il a connu une seule véritable histoire d’amour dans vie qui a duré huit ans. Il aimerait rencontrer une femme qui travaille en dehors de la ferme et qui aime faire du shopping, comme lui. Il veut « une fille agréable à regarder ». Mais avoue être assez jaloux et possessif .

Jean-Noël, divorcé et père d’une fille de 27 ans, vit en Charente Maritime. Producteur de Cognac et Pinault, il est également trufficulteur avec l’aide de son chien Fifi, et conseiller municipal de son village. Après avoir expliqué à Karine Le Marchand comment « naissaient » les truffes, Jean-Noël a avoir « beaucoup de temps » pour lui. Il fait partie d’un club moto et de l’association des petits frères des pauvres. Sensible à son image, il a besoin d’être apprécié. Il aime cuisiner et recevoir, l’ordre et la propreté. Karine Le Marchand le décrit comme « un homme parfait ». Mais tout n’est pas rose dans l’histoire de Jean-Noël. Il a vécu une grande histoire d’amour pendant 24 ans avant de divorcer de sa femme qui est partie avec un de ses amis. « Je ne suis pas attiré par les rondes » prévient-il à ses futures prétendantes. Car l’homme a des critères assez précis. Il veut une femme non seulement mince, mais active et non dépressive. « Je sais ce que je veux, je sais ce que j’ai envie de vivre, je sais ce que j’ai envie de reconstruire »

En route pour la Loire afin de rencontrer la dernière agricultrice de la saison. À 28 ans, Sophie est associée avec sa famille dans une exploitation destinée à la viande. L’occasion pour Karine Le Marchand d’en savoir plus sur les vaches : « Les vaches, c’est comme les femmes, elles peuvent être en chaleur tous les mois ? » « Et elles sont leurs règles aussi ? hihihi » Et oui... Elle assiste également à un vêlage en compagnie de Corinne, l’ainée des trois sœurs qui a écrit pour inscrire Sophie à l’émission. Il faut dire que cette dernière a un gros manque de confiance en elle. Elle a peur de souffrir suite à une histoire d’amour pendant deux ans, et qu’elle a du mal à oublier. Depuis, elle est distante et a du mal à faire confiance. Mais le prince charmant existe et pour elle il doit « faire plus d’1m70 » et être « assez sportif et humble ». Histoire d’aller prendre des cours de rock avec elle et de l’aider à monter sa ferme auberge ?

Retour en Charente-Maritime pour cette fois-ci faire la connaissance de Philippe, un viticulteur et céréalier bio de 46 ans. Cet homme ouvert, humaniste et progressiste est très engagé politiquement et syndicalement . Et d’emblée, il fait savoir qu’il lui faut une femme qui partage ses opinions et qui ne travaille pas au Trésor public. Si elle aime la country, c’est un plus puisqu’il en fait une fois par semaine. Ceci étant dit, Philippe énonce ses défauts : « Je suis difficile pour manger, chiant, maniaque et je ronfle. » Côté qualités, il est honnête, tolérant, et n’est ni jaloux, ni possessif. Célibataire depuis cinq ans, Philippe a eu six grandes histoires d’amour dans sa vie, dont une de 17 ans. Sa femme l’a quitté pour une autre femme. Pour lui, le principal n’est pas le physique, mais les valeurs... et les siennes ! « Femme révolutionnaire » bienvenue ! Pour l’anecdote, Philippe a tourné dans « La tête en friche » avec Depardieu, et a tenté sa chance à « Tournez Manège » -version Cauet- sur TF1, mais n’a pas été sélectionné.

Pour la dernière escapade de ses présentations, Karine Le Marchand se rend dans les Alpes de Haute Provence à la rencontre de Gilles, un éleveur de chèvres et de vaches allaitantes. Divorcé depuis quatre ans après 22 ans de vie commune, cet homme de 45 ans vit isolé avec son fils de 13 ans. Il s’est d’ailleurs battu pour avoir sa garde. « l’amour rend aveugle, mais le mariage rend la vue » lâche Karine, histoire de détendre l’atmosphère. Gilles est passionné de chasse et a des valeurs sentimentales très fortes. Son exploitation, c’est sa vie ! Mais par amour, il est prêt à tout quitter ! Réfléchi et généreux, il rêve d’une relation fusionnelle. La beauté intérieure et l’amour que la fille peut lui porter sont plus importants que tout pour Gilles qui croit plus que jamais à l’amour.