JT 20H : Karine Baste-Régis se rebelle face à une attaque inattendue
Karine Baste-Régis et Xavier de Moulins ont signé une édition convaincante aux manettes du 20 heures de France 2 et du 19.45 de M6. Gilles Bouleau a rencontré quelques difficultés ce mercredi 3 février 2021 sur TF1.
Karine Baste-Régis, en charge toute cette semaine du 20 heures de France 2, a challengé une nouvelle fois son rival de TF1, Gilles Bouleau, ce mercredi 3 février. Après un début d’intérim hésitant, la journaliste a haussé le ton pour sa troisième sortie tandis que Xavier de Moulins s’est offert un record d’audience sur M6.
Les variants, une menace encore floue
La Martiniquaise s’est intéressée aux saisies policières et à l’exploitation de l’argent relié au crime. L’inquiétude suscitée par les nouvelles mutations du virus, la transformation en Garonne d’un village en île suite à d’importantes inondations mais aussi la production de vaccins en France et leurs destinataires ont compté parmi les principaux sujets du soir. Sur le plateau, Damien Mascret, médecin et journaliste à France Télévisions, s’est penché sur les variants du Coronavirus en indiquant comment savoir si l’on était contaminé par l’un d’eux et ce que cela occasionnait sur notre santé.
Un écart d’environ un million de téléspectateurs a séparé le 20 heures de Gilles Bouleau, leader sur TF1, de l’édition emmenée par Karine Baste-Régis. En moyenne, la chaîne privée a convaincu 6.77 millions de curieux et 25.8% de l’ensemble du public, soit la plus basse performance sur la part de marché. Par ailleurs, 21.9% du public féminin et 21.1% des CSP+ ont répondu présents.
Xavier de Moulins au-dessus des 4 millions
La chaîne publique a attiré 5.79 millions de Français, avec également 22.1% des 4 ans et plus, au plus haut depuis le vendredi 29 janvier, dont 10.9% des femmes de moins de 50 ans et 19.7% des CSP+, cible habituellement dominée par la Deux et pour laquelle TF1 et M6 ont affiché un meilleur bilan. Xavier de Moulins a séduit 4.08 millions d’hexagonaux (16.1%), soit un record de saison sur le premier indicateur, grâce à notamment à la présence d’un quart des téléspectateurs de moins de 50 ans.