« Je n’ai pas dit non à TF1... » Les révélations de Faustine Bollaert sur les dessous de sa rentrée TV

Depuis la rentrée 2017, France 2 est revenue à ses basiques fédérateurs pour ses émissions de l’après-midi. La chaîne publique a programmé un format testimonial baptisé Ça commence aujourd’hui . Depuis, la quotidienne est un succès et elle a été déclinée en podcast.

Si Faustine Bollaert rempile pour une saison supplémentaire à la tête de ce magazine, elle fourmille de projets, malgré quelques échecs. La présentatrice a alors confié son carnet de route de la rentrée de la saison 2023/2024 dans les colonnes du journal Le Parisien.

Faustine Bollaert : une animatrice tampon dans Ça commence aujourd’hui

Faustine Bollaert a avoué qu’elle était terriblement impliquée dans les témoignages de ses invités. « C’est un engagement cette émission. Au bout de sept ans, j’ai dû écouter plus de 3500 histoires. Il y a un certain prix à payer émotionnellement », a-t-elle affirmé.

De plus, elle a dit composer avec un remords dans sa vie en dehors de Ça commence aujourd’hui . « Quand je rencontre des gens dans la rue, qui me racontent des choses très intimes et très fortes, je m’en veux de ne pas pouvoir leur accorder autant d’écoute que je pourrais le faire à la télévision. Je vis un peu avec cette pression de décevoir », a-t-elle souligné dans les colonnes du quotidien.

Faustine Bollaert entre dans un monde inconnu

Dans le même temps, Faustine Bollaert affirme avoir eu envie de changement avec Safe Zone, une légère déclinaison de l’émission de France 2 sur YouTube. En arrivant chez les équipes de Newen Digital, filiale de production du groupe TF1, elle avoue avoir été quelque perdue. Elle devait accueillir des influenceurs, très enclin avec la plateforme.

Néanmoins, elle a pu s’appuyer sur sa famille. « Mes petits-cousins, d’une vingtaine d’années, m’ont beaucoup aidée », a-t-elle confié. Elle a gardé toutefois la même énergie pour pouvoir amener ses invités, comme Nicolas Anselmo de la série Ici tout commence , à briser leur carapace. « Il faut que j’installe une atmosphère qui les aide à sortir de leur zone de confort », a-t-elle glissé.

Une fidélité sans faille à France 2

Si Faustine Bollaert a mis un petit pied dans le groupe audiovisuel privé, elle a renouvelé sa confiance à la chaîne publique. En effet, en milieu d’année, elle a été courtisée par TF1, tout comme Cyril Féraud. « Je n’ai pas dit non à TF1, j’ai dit oui à France 2, aux équipes avec qui je travaille, à mon émission que j’adore, à ma relation très forte que j’ai avec Stéphane Sitbon-Gomez et Delphine Ernotte  », a-t-elle déclaré.

Dans le même temps, à la rentrée, elle a glissé une révélation puisque la marque Prodiges pourrait avoir une nouvelle déclinaison de plus, en parallèle des deux déjà existantes cette saison. Elle a donné son ressenti sur ce format. « Il y a une magie autour de cette émission, qui rassemble beaucoup de choses : les belles valeurs, le grand spectacle, le vrai divertissement. Je trépigne d’y aller », a-t-elle conclu.

En attendant les inédits dès le 28 août 2023, des rediffusions de ( Ça commence aujourd’hui sont à retrouver du lundi au vendredi à 13h55 sur France 2.