Game Of Thrones, The Mentalist, Prison Break, Gotham... ces séries qui ont leur « version » de Negan (The Walking Dead)
Comme attendu, l’ouverture de la saison 7 de The Walking Dead a choqué les fans. Negan et sa fidèle batte, Lucille, ont brutalement massacré deux personnages phares et aimés du public : Abraham puis Glenn. Après le Gouverneur, la relève du sadisme est assurée. Un concept maintes fois entretenu par différentes séries qui ont pour beaucoup, le grand méchant que les téléspectateurs aiment détester. La preuve en images.
Klaus Mikaelson (Vampire Dairies)
Alternant dans le bien et le mal avec Vampire Dairies et The Origins, Klaus est capable du pire : poignarder Rebekah, lui briser la nuque, prendre possession du corps de Tyler pour coucher avec Caroline... Son côté beau garçon et séducteur le rendent davantage imprévisible et manipulateur.
Ramsay Bolton (Game of Thrones)
Émasculation, viol par sodomie, parricide... les fans sensibles ont été malmenés par Ramsay Bolton, dont les yeux sont aussi clairs que son âme est sombre. Affamant ses limiers pour mieux les lâcher sur ses ennemis, Ramsay Bolton, capturé, meurt dévoré par ses propres chiens.
Jack Randall (Outlander)
« Black Jack », capitaine des dragons dans l’armée britannique, se rend en Écosse pour contrer la rébellion. Flagellations, viols, il torture tant qu’il peut et tourmente à la fois Jamie et Claire, attirés par les deux car bisexuel, fait inconcevable au milieu du XVIIIè siècle.
Kilgrave (Jessica Jones)
L’un des pires méchants de l’univers Marvel a un rôle remarqué dans la série Jessica Jones. Préférant souvent la torture à la mort, son pouvoir hypnotique le rend puissant et malsain. Il peut, par exemple, demander à ses domestiques de s’arracher mutuellement le visage.
Oswald Cobblepot (Gotham)
Mieux connu sous le nom du « Pingouin », Oswald Cobblepot est marqué par la mort de sa mère. Matraqué par un pied de chaise, il ne peut plus marcher normalement et s’appuie notamment sur son parapluie. Sadique, Oswald peut tuer aussi bien avec un couteau qu’une bouteille ébréchée pour de futiles motifs.
Gemma Teller (Sons of Anarchy)
Le sadisme est le propre de l’homme, rarement celui de la femme. Pourtant, Gemma Teller excelle dans Sons of Anarchy. Mère-poule, elle est capable des pires actes quand une femme s’approche de son fils Jax. Celui-ci finit par tuer sa mère, coupable du meurtre de Tara Knowles, sa compagne.
John le Rouge (Mentalist)
Intelligent, colérique, sanguinaire, le rituel meurtrier de John le Rouge est particulièrement pervers : ligotage, lacérations au couteau, abus sexuel, éviscérations et un smiley dessiné du sang de ses victimes. Patrick Jane, dont la fille et la femme ont été victimes du tueur, finit par étrangler ce psychopathe, soit le shériff Thomas McAllister.
Le tueur de la Trinité (Dexter)
Dans la saison 4, Dexter est dépassé par Arthur Mitchell, qui assassine par trois et se montre en avance sur les réflexions du frère de Deborah. Alors qu’il tue son ennemi, Dexter découvre le cadavre de sa femme Rita, tuée par la Trinité. Leur fils, Harrison, pleure et baigne dans le sang de sa mère.
John Abruzzi (Prison Break)
Une saison aura suffi à John Abruzzi pour faire parler sa soif de sang et de mutilation. Avec une pince, il ordonne à l’un de ses alliés de sectionner deux orteils à Michael Scofield. En fin de saison, il coupe une main à T-bag, son ennemi juré, alors enchaîné au frère de Lincoln.
Hannibal Lecter (Hannibal)
Fin gourmet, psychiatre renommé, Hannibal Lecter est un tueur en série qui laisse des cadavres dans une mise en scène presque poétique. Son cynisme est tel qu’il convie ses collègues à sa table, cuisinant de la chair humaine tirée de ses victimes.