France 2 : Faustine Bollaert sans pitié pour TF1, une rupture choc
Les ruptures choc en pleine grossesse pour permettre à la future maman de vivre une histoire d’amour homosexuelle ont constitué le sujet de Ça commence aujourd’hui ce lundi 20 septembre 2021. La curiosité a été au rendez-vous.
Du lundi au vendredi, Faustine Bollaert tient les rênes de sa quotidienne Ça commence aujourd’hui à la suite du 13 heures de Julian Bugier. Ce lundi 20 septembre 2021, elle a accueilli des invitées qui ont « tout plaqué pour une femme » pendant leur grossesse.
Un coup de cœur en plein confinement
L’une des femmes présentes sur le plateau indique avoir craqué pour sa collègue infirmière pendant le premier confinement : « J’avais quelque chose pour elle. Avant, je n’ai jamais eu d’histoire avec une femme avant Mylène [...] Les 15 premiers jours de notre cohabitation, on allait travailler, on rentrait, on était contentes, c’était un peu l’esprit coloc. Il y avait des jeux de séductions, de regard, des papillons sur le ventre... ». Elle a toutefois précisé que l’histoire avec son mari touchait à sa fin.
France 2 s’est offerte le luxe de distancer TF1 auprès de la cible commerciale avec un numéro inédit privilégié par 19.9% des femmes de moins de 50 ans contre 18% pour la première moitié du téléfilm Beau, riche et mortel. Sur les 4 ans et plus, le magazine de témoignages a convaincu 1.22 million d’individus, soit une part d’audience à hauteur de 15.2%, tandis que la chaîne privée a mobilisé 1.47 million d’amateurs du genre entre 14h10 et 15h40 (20.1%).
Les téléspectatrices conquises par Faustine Bollaert
Après avoir concédé un repli de 1.5 point d’un lundi sur l’autre pour son rendez-vous inédit, Faustine Bollaert a ensuite prolongé l’après-midi en rediffusion avec un thème de faits-divers parvenu à captiver 822 000 téléspectateurs, pour une part d’audience s’élevant à 12.3%, dont 15.4% des ménagères.
La maladie d’Alzheimer et le quotidien chamboulé des familles touchées par celle-ci sont au cœur du rendez-vous programmé ce mardi 21 septembre. Un fléau déjà évoqué aux prémices de cet été.