France 2 : « Ça s’appelle un viol ! », Faustine Bollaert scandalisée, coup dur pour la chaîne publique

Depuis la rentrée 2017, Faustine Bollaert officie au quotidien sur France 2 à travers Ca commence aujourd’hui . La chaîne publique a distillé deux nouveaux épisodes de son magazine de témoignages, produit par Réservoir Prod, le mercredi 7 décembre 2022.

Quelle audience pour Ca commence aujourd’hui sur France 2 ?

Dans la foulée du 13 heures de Julian Bugier, Faustine Bollaert a orchestré un inédit de Ca commence aujourd’hui. L’émission, où Michel Drucker et Chantal Goya ont témoigné sur le thème « 80 ans et toujours le même amour de la scène », a passionné 1.16 million de téléspectateurs, soit 14.4% de l’ensemble du public, entre 13h58 et 14h56. Un score en hausse de 1.4 point sur une semaine et stable sur un an.

Faustine Bollaert a, en parallèle, accusé un coup dur pour France 2. Sur la cible si prisée des femmes de moins de 50 ans responsables des achats, l’ancienne animatrice du Meilleur pâtissier sur M6 a plongé sa part de marché à 7%. Une audience très faible pour la chaîne publique, qui a été survolée par les fictions de Noël de TF1 et M6.

Puis, Faustine Bollaert a emmené une rediffusion de Ca commence aujourd’hui entre 15h06 et 16h04. L’émission, axée sur le thème « Célébrités : ils nous racontent leur plus belle histoire d’amour » en présence de Chris Marques, Sophie Darel et Madame Monsieur, a suscité l’intérêt de 802.000 téléspectateurs, soit 11.9% de l’ensemble du public. Un score en hausse de 1.4 point sur une semaine, mais en baisse de 1.7 point sur un an.

Cali et Aurélie Saada chez Faustine Bollaert

Ce jeudi 8 décembre, Faustine Bollaert sera à la tête d’un nouvel inédit de Ca commence aujourd’hui sur France 2. Au cours de l’émission, axée sur le thème « Une douloureuse blessure d’enfance… », l’animatrice recevra Cali et Aurélie Saada. Cette dernière se livrera sur un drame qu’elle a vécu alors qu’elle était âgée de 4 ans.

Lorsqu’elle était à la maternelle, Aurélie Saada a vécu un enfer à cause d’un petit garçon, qui l’a forçait à mettre des robes. « Quand je n’en portais pas, il me cassait la gueule », confessera-t-elle. Elle relatera ensuite la « façon horrible » avec laquelle il commettait des actes ignobles. Faustine Bollaert s’en retrouvera scandalisée. « Ça s’appelle un viol ! », lâchera-t-elle, tout en ne comprenant pas comment « personne n’a rien vu »…