Escape : 11 candidats pourchassés, entre stratégies et paranoïa
À partir du 10 octobre, RMC Découverte présentera son nouveau programme, Escape, 21 jours pour disparaître. Chaque mercredi à 20h50, les téléspectateurs découvriront les aventures de onze fugitifs en duo ou en solo : Yliona & Irina, Maxime & Maxime, Sylvie & Marjorie, Jean-Philippe & Laurent, Emeline & Richard et David.
Dans ce format adapté de Hunted, les candidats devront s’effacer des écrans radars pendant trois semaines. Pourchassés par une équipe d’experts, Richard et Emeline, couple de participants, ont dû faire des sacrifices : « Être loin de notre fils pendant 21 jours a été hyper difficile », tout en ajoutant que le côté haletant donne son charme à l’émission : « On a pris le jeu au sérieux, car on avait envie de devenir chaque jour de meilleurs stratèges ».
Non spécialiste, Richard a également évoqué l’importance de l’interdépendance au sein de l’équipe : « Au départ, on ne maîtrise pas trop le sujet de la fuite, mais en étant à deux on était assez complémentaires ». Ce dernier a vanté les qualités de sa femme, nécessaires à la réussite de cette mission : « Personnellement, je déteste demander de l’aide à autrui, mais ma femme Emeline le faisait très bien. Nous avons donc pu loger chez des particuliers ».
Emeline, de son côté, n’a pas hésité à tirer profit des conseils de sa famille : « Mon frère m’a été d’une grande aide. Il s’est inspiré des émissions étrangères pour repérer quelques failles et désorienter le Quartier Général ».
Jean-Philippe et Laurent, deux pompiers dans les Bouches-du-Rhône à Marseille, se sont également exprimés sur leur vision de cette cavale : « Au début, on voulait juste prendre du plaisir, mais en réalité, au bout de quelques heures, on devient complètement parano ». Ces derniers possédaient un style bien particulier : « On était plus dans l’improvisation, on a profité d’une véritable chaîne d’amis nous permettant de bénéficier de notre réseau, pour nous balader dans la France ».
Enfin, les aventuriers ont souhaité souligner la générosité des personnes les accueillant tout au long de ces trois semaines d’évasion : « Lorsque que l’on venait chez les gens, ils nous nourrissaient, nous logeaient et, en plus de cela, on leur demandait de l’argent avant de repartir, leur gentillesse était incroyable ».