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Christophe Beaugrand (Cinq à sept avec Arthur) : « A l’instar de Laurent Ruquier, Arthur a la faculté de mettre en valeur les gens qu’il a autour de lui »

Léopold Audebert
Publié le 10/06/2016 à 17:20 Mis à jour le 10/06/2016 à 19:07

A l’heure ou Cinq à sept, déclinaison quotidienne et en direct de l’Hebdo show, cherche à trouver ses marques sur TF1, les téléspectateurs peuvent régulièrement retrouver Christophe Beaugrand dans la bande d’Arthur. A l’occasion du tournage du Grand concours des animateurs, spécial quinze ans, rencontre avec l’un des futurs animateurs de la version française de Ninja Warrior sur la chaîne, également à la tête de la matinale de RTL (5h00-6h30) pendant tout l’été, avant l’arrivée de la dixième saison de Secret Story.

Léopold Audebert : Quel regard portez-vous sur l’Hebdo show avec Arthur, récemment devenue Cinq à sept avec Arthur ?

Christophe Beaugrand : On s’amuse beaucoup. On est en train de défricher quelque chose, de recréer une ambiance de bande qu’on ne connaissait plus depuis très longtemps sur TF1.

Comment êtes-vous arrivé dans la bande de l’émission d’Arthur ?

On s’est connu sur Vendredi tout est permis. Je ne l’avais vraiment rencontré avant et j’ai été invité dans son émission il y a deux ans pour la première fois. Au début, il m’a dit bonjour et au revoir à la fin : je me disais « Bon, il n’est pas très causant... » (rires) Et je l’ai fait plusieurs fois, donc je me suis dit « Si je reviens, c’est qu’il a du bien aimer quand même ! » (rires). Après, on s’est mis à se parler de plus en plus. Mais je pense que c’est quelqu’un qui a besoin de temps pour être en confiance, et c’est pour ça que, d’ailleurs, dans la bande qui est autour de lui, ce ne sont quasiment que des gens qu’il connait très bien, et en qui il a une pleine confiance.

Quelle est l’ambiance lors des tournages ?

C’est un vrai bonheur de bosser avec Arthur. Moi qui travaille avec quelqu’un comme Laurent Ruquier depuis un moment, il a, à son instar, la faculté de mettre en valeur les gens qu’il a autour de lui. C’est-à-dire qu’il est le premier spectateur de nos pitreries, et on se sent hyper en confiance.

Quelle est votre part d’implication dans la construction du programme ?

On passe notre temps à s’envoyer des textos : pendant la diffusion de la première, on a « live-tweeter » par textos, avec les réactions des gens. Il a vraiment envie d’avoir notre avis aussi ! Il me dit « Tiens, tu penses que tu devrais faire plutôt ça ? », moi sur la première émission je lui ai dit « Ah je trouve que la lumière est un peu blanche, ça fait plus lumière d’après-midi, ça sera bien pour le Cinq à sept, mais peut-être pas pour le soir ». Il m’a dit « Ah ouais, tu as raison ! » : il est hyper à l’écoute de tout ce que peuvent lui dire les gens de la bande.

Quel regard portez-vous sur les autres personnalités, également présentes à vos côtés dans la bande ?

La chance que j’ai, c’est que ce sont des gens avec qui j’ai déjà travaillé. Christine Bravo que je connais très bien, Jarry, avec qui on avait fait des Canapé-quiz à l’époque, ou encore Leïla Ben Khalifa, ma complice de Secret Story : il y a vraiment un bonne équipe et je pense qu’il y a un très fort potentiel. Il va falloir laisser le temps de s’installer. Mais en tout cas, ce qui est sûr, c’est que, dès la première de l’Hebdo show, j’ai le sentiment que la mayonnaise a pris entre nous.