Ça commence aujourd’hui (bilan d’audience) : Faustine Bollaert victime d’une légère baisse en octobre
La rentrée de Ça commence aujourd’hui pour sa troisième saison a connu un succès allant au-delà des espérances de Faustine Bollaert et France 2. Les records historiques d’audience sont allées bon train, l’émission étant parvenue à attirer un public neuf en investissant la case de Je t’aime etc pour les rediffusions estivales. Mais après une fin août et un mois de septembre tonitruants, l’émission a-t-elle confirmé en octobre ?
La moyenne mensuelle a été impactée puisque la quatrième semaine de diffusion a basculé en rediffusion à l’occasion des Vacances de la Toussaint. Du 21 au 25 octobre, la part de marché a atteint 9.5% pour un total de 827 000 irréductibles, soit bien-dessous des scores habituels pour la case de 13h55 à 15 heures. En effet, lors des trois semaines inédites en ce mois d’octobre, Ça commence aujourd’hui a rassemblé 972 000 téléspectateurs et 12.4% de l’ensemble du public. Par conséquent, Faustine Bollaert a mobilisé 934 000 fidèles, soit 11.6% des téléspectateurs tout au long du mois d’octobre. Les thèmes les plus performants, datés du 17 et du 18 octobre, (14.1% en part de marché) ont été les suivants : « Petits... et heureux ! » et « Nouvelles familles : l’amour face aux préjugés ! ».
Forte progression sur un an
Tout au long du mois de septembre, les vingt opus avaient retenu l’attention de 1.02 million de Français, correspondant à une part d’audience à hauteur de 13.5%. Aucun rendez-vous n’était alors descendu en-dessous de 11.7%. Le sujet « 50, 70, 80 kilos en moins et l’amour s’est envolé » reste à ce jour le plus prolifique en part d’audience avec 15.8% du public réuni, pour un total de 1.15 million d’aficionados. Sur cet indicateur, un record a été battu le lundi 28 octobre puisque 1.19 million d’aficionados ont été convaincus par les chanteurs devenus stars grâce à un seul titre.
Cependant, sans surprise, l’émission affiche un bilan de bien meilleure facture par rapport à octobre 2018. En effet, le magazine avait convaincu, un an plus tôt, une moyenne de 737 000 individus et 9.5% des 4 ans et plus devant l’écran.