C’est que de la télé : Valérie Bénaïm à l’arrêt, Gilles Verdez toujours battu par Un dîner presque parfait

Une nouvelle édition de C’est que de la télé a été animée par Valérie Bénaïm ce mercredi 4 décembre sur C8. Le plateau s’est constitué de Jean-Michel Cohen, Gilles Verdez, Caroline Ithurbide et Ludivine Rétory.

Bruno Humbeeck a tiré la sonnette d’alarme sur le harcèlement, auteur de l’ouvrage « Pour en finir avec le harcèlement ». Il a commenté quelques-uns des chiffres les plus marquants : 700 000 élèves harcelés chaque année en France, une femme sur deux qui s’est plainte d’harcèlement sexuel en entreprise, et surtout : 22% des hommes ont admis avoir agressé sexuellement une femme selon l’Ifop. Le harcèlement sur les réseaux sociaux a donné lieu à un conseil de l’invité : « Les réseaux sociaux sont une caisse de résonance sur le harcèlement. Si vous êtes agressé sur un réseau social, vous avez l’impression que le monde vous agresse. Un cyber help est en train d’être mis en place pour activer un dispositif de prise en charge de la situation vécue par un internaute. La première chose à faire est de copier les écrans ».

C8 ne décolle pas mais reste sur les talons de W9

Jean-Michel Cohen, lui, a prévenu contre la vente libre des médicaments : « Chaque fois que vous avalez un médicament ou un complément alimentaire, vous êtes susceptible d’avoir une réaction imprévue et qui peut-être dangereuse. Chacun d’entre nous peut être allergique à n’importe quoi ». Le sujet des rêves prémonitoires a ensuite occupé les chroniqueurs lors de la deuxième partie du divertissement.

Un score similaire à la veille et plutôt modeste a été enregistré par la chaîne en fin d’après-midi. Après une partie introductive déroulée devant 150 000 Français et 1.4% d’entre eux devant l’écran, la suite a mobilisé 310 000 aficionados, correspondant à 2.4% des téléspectateurs, soit 0.3 point de moins que W9, leader TNT avec Un dîner presque parfait. 4.2% des ménagères et 4.7% des 25-49 ans ont pris part à la P2 de C’est que de la télé.