Aurélie (Les Princes et princesses de l’amour) : « Hillary est ma meilleure ennemie »
Ce lundi 4 décembre, W9 donnait le coup d’envoi des Princes et princesses de l’amour. Aurélie se confie sur sa participation, sa relation avec l’amour et les autres candidats de l’émission.
Benoît Mandin : Pourquoi avoir accepté de participer aux Princes et princesses de l’amour ?
Aurélie : C’est un nouveau concept. J’avais envie pour une fois de tester une émission de dating. Les Princes et les princesses est un nouveau délire et pourquoi pas y trouver l’homme de ma vie. Mon ancien producteur des Ch’tis vs Le reste du monde a estimé que j’étais sûrement un cas désespéré de l’amour (rires).
Avez-vous eu des appréhensions avant le début du tournage ?
J’avais peur qu’il n’y ait pas beaucoup de prétendants. J’ai un caractère bien trempé et je suis difficile à supporter. Je me suis demandé dans quoi je m’étais embarquée et je redoutais de péter un câble si personne ne venait pour moi.
Quels critères vous étiez-vous fixés ?
Je suis partie pour trouver un mec bien, beau, riche, jeune, dynamique et qui a beaucoup d’humour. Je pense qu’au fond on cherche tous un mec avec qui on a un bon feeling. Ma notoriété peut me permettre d’en trouver un à chaque coin de rue, mais on ne sait jamais si la personne a vraiment une démarche sincère.
A l’image d’Hillary avec Virgil, avez-vous redouté de vous retrouver face à l’un de vos ex ?
Je suis en général en bon terme avec mes ex. Je ne vois plus Benjamin et Samir, je n’en ai strictement rien à faire. Cela aurait été délicat d’être avec un ex dans l’émission. J’espère que je n’aurais jamais à le vivre un jour, car cela ne fait jamais plaisir de voir des filles venir pour son ex.
« J’avais peur qu’il n’y ait pas beaucoup de prétendants »
Le public vous connaît à travers une personnalité exubérante. Avez-vous eu des difficultés à vous livrer intimement face aux caméras de W9 ?
Je suis vraiment une fille timide. Je ne rentre jamais en première au restaurant et je n’appelle jamais pour commander moi-même. J’ai aussi un caractère difficile donc ce n’est pas simple. J’ai été très gênée lors du premier speed dating et je n’ai pas clairement pas aimé cela. J’ai aussi le défaut de ne rien prendre au sérieux.
Dans quel état d’esprit étiez-vous lors de l’arrivée des prétendants ?
Je me suis dit : « J’espère qu’ils ne sont pas comme ça ». Ils étaient loin d’être mon style physiquement. J’avais donné mes critères de sélection à la production, mais entre les photos et le réel, il y a régulièrement une grande différence. On ne vit pas avec les filtres Snapchat toute l’année (rires).
Comment s’est déroulée la cohabitation entre les princes, les princesses et les prétendant(e)s ?
Elle a été géniale. On ne mange pas et on ne dort pas avec les prétendants dans le but que tout se passe devant les caméras. Il y a eu rapidement des tensions... Hillary est ma meilleure ennemie, j’ai toujours adoré la détester. Mélanie, je la connaissais pas et elle m’a paru très simple. J’avais des préjugés sur elle au début et il s’est avéré que c’est une belle personne.
Qu’avez-vous retenu de cette expérience ?
Pour qu’un homme me supporte, il faut vraiment y aller. Je le plains vraiment ! La personne avec qui je suis en ce moment n’a plus de cheveux, car je lui ai fait tout perdre (rires).