Alexandre Brasseur (Meurtres à Pont-Aven, France 3) : « Un vent de fraîcheur va souffler d’ici l’été pour Alex dans Demain nous appartient sur TF1 »

Ce samedi 18 mars 2023, France 3 propose un numéro inédit de la collection Meurtres à… en prime. Dans cet épisode intitulé Meurtres à Pont-Aven , Alexandre Brasseur incarne Antoine Le Mezec, un capitaine de police. L’histoire se déroule 20 ans après que l’artiste peintre Suzanne Saroc ait été brûlée vive dans son atelier. Le drame resurgit puisque dans la même ville, deux galeristes sont tués.

Marion, la fille de l’artiste, enfant lors du meurtre de sa mère, et Antoine Le Mezec, à la tête des investigations à l’époque, mènent l’enquête. Ils explorent les liens possibles entre les affaires, les éléments ayant échappé aux enquêteurs, ou volontairement occultés. Le médecin légiste en charge de l’enquête sur la mort des deux galeristes, père de Marion, toujours amoureux de Suzanne, semble cacher quelque chose…

Un rôle important pour Alexandre Brasseur sur France 3

Dans une interview accordée à Télé 7 jours, Alexandre Brasseur revient sur cet épisode : « Parfois, Les Meurtres à… sont basés sur les mythes et légendes des lieux. Ici, dans le village de Pont-Aven, dans le Finistère, c’est l’une des premières fois que la collection aborde plutôt le côté patrimonial d’un site. Notamment autour de l’école de peinture, dont Paul Gauguin était le chef de file ».

Par ailleurs, le comédien connaît très bien le milieu de l’art : « Mes grands-parents maternels, comme ma mère, ont toujours été très portés sur l’art. D’où mon intérêt pour ce domaine. Partout où je vais, en France ou à l’étranger, je m’informe sur les musées, les expositions et les galeries à visiter ».

En revanche, son personnage d’Antoine Le Mezec, n’est pas sensible à l’art dans cet épisode : « J’ai tout de suite senti que quelque chose n’avait pas été très clair dans son passé. Il revient sur les terres de son enfance et de sa première affaire, où il avait conclu à un accident, après la mort d’une peintre ». Il ajoute sur son personnage : « On a l’impression qu’il porte en lui, non pas une rancœur, mais une blessure, une forme de culpabilité, sur laquelle j’ai joué pour le rendre ambigu ».

« Ce n’est pas parce que l’on tourne dans une série quotidienne que l’on ne peut pas faire autre chose »

Par ailleurs, Alexandre Brasseur tourne toujours dans Demain nous appartient sur TF1. Acteur historique de la série quotidienne, il a pourtant eu le temps de tourner Meurtres à Pont-Aven  : « J’aimerais que les gens, notamment du métier, entendent que ce n’est pas parce que l’on tourne dans une série quotidienne que l’on ne peut pas faire autre chose. J’ai eu la chance de jouer au Festival d’Avignon, de tourner une saison du Bureau des légendes (Canal +), plusieurs téléfilms, parmi lesquels Emma Bovary (France 2), dont je suis particulièrement fier… Et j’ai deux grands projets pour le théâtre. Tout cela n’est qu’une question d’organisation ».

Concernant l’avenir d’Alex dans Demain nous appartient , le comédien confie : « Avec les auteurs, on emmène le personnage vers un peu plus d’engagements. Notamment au sein de l’association qu’il a découverte au sein du mas ostréicole, racheté dernièrement avec sa femme, Chloé (Ingrid Chauvin). Celui lui permettra de s’occuper de gens dans des situations complexes, et de mettre à profit son humanité. A travers cette expérience, un vent de fraîcheur va souffler d’ici l’été, chez les Delcourt, ce qui me ravit ».

Alexandre Brasseur est à retrouver ce samedi 18 mars dans Meurtres à Pont-Aven en prime sur France 3 et du lundi au vendredi dès 19h10 dans les épisodes inédits de Demain nous appartient sur TF1.