Alexandra Rosenfeld (Je suis une célébrité : sortez-moi de là) : « Nilusi nous a donné une leçon... »
Ce mardi 9 juillet à 21 heures, Je suis une célébrité : sortez-moi de là signera son grand retour sur TF1. L’ex-Miss France Alexandra Rosenfeld, qui joue pour l’association « Action contre la faim », se confie sur sa participation au jeu d’aventure.
Benoît Mandin : Pourquoi avoir accepté de participer à Je suis une célébrité : sortez-moi de là ?
Alexandra Rosenfeld : C’était surtout d’aller se battre en Afrique du Sud pour une association. Le dépassement de soi m’a également fortement intéressé.
En tant qu’ex-Miss France, comment avez-vécu cette sortie de zone de confort ?
Je ne m’en préoccupe pas parce que j’ai été Miss France il y a longtemps (elle a été élue en 2006, ndlr). Avant de l’être, je n’étais pas coquette et je ne le suis toujours pas. Les téléspectateurs vont rapidement pouvoir découvrir que je suis la fille la moins coquette du camp. Souvent, on me disait : « Alex, tu ne veux pas te faire des tresses, t’attacher les cheveux et faire un effort ». Je prenais juste une douche et c’est tout. Je ne me coiffais pas et je ne faisais pas du tout attention à mon image. Le principal étant que je plaise à mon homme (Hugo Clément, ndlr) et à ma fille.
Avez-vous eu des appréhensions ?
Ma plus grande frayeur est le vide. Bien que je ne me voyais pas dire « Je suis une célébrité : sortez-moi de là », je suis restée traumatisée... Vu que je suis fille unique, j’appréhendais aussi la vie en groupe. Au début de l’émission, je me suis plus placée comme observatrice. Je me suis rendu compte que l’on était une équipe soudée et forte mentalement. Cela m’a beaucoup aidé au cours de l’aventure.
« Je suis une célébrité : sortez-moi de là est avant tout une aventure humaine »
Dans quel état d’esprit étiez-vous lors de votre arrivée sur le tournage ?
Certes, je partais pour une aventure personnelle, mais j’étais là avant tout pour une association. Je me suis battue pour le groupe parce que l’on se devait tous de l’être pour les épreuves du coffre. Le collectif a primé et Je suis une célébrité : sortez-moi de là est avant tout une émission humaine.
Comment avez-vous réagi lors de la découverte des autres candidats de l’aventure ?
Quand on les découvre au départ, on a un peu tendance à comparer la taille des bras (rires). Mais on se rend vite compte que le mental est le plus important. J’ai été complètement touchée par la petite Nisuli (ex-membre des Kids United, ndlr). Du haut de ses dix-neuf ans, elle nous a donné une leçon à tous par sa force mentale et son courage.
Je suis une célébrité : sortez-moi de là est un jeu d’élimination. Aviez-vous réfléchi à des stratégies ?
Forcément, c’était le côté que l’on aimait le moins. On s’était liés les uns aux autres. Même si tu sauves quelqu’un, tu en laisses trois sur le carreau… Cela faisait partie du jeu et on se devait de l’accepter. Franchement, tout le monde est parti avec le sourire aux lèvres.