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C à vous : Marine Le Pen dézinguée par une célèbre invitée d’Anne-Elisabeth Lemoine

Claudia Ferreira
Par
Rédactrice - Experte TV & People
Publié le 18/04/2024 à 20:45

Face aux récentes déclarations de François Hollande et Marine Le Pen sur Gabriel Attal, Roselyne Bachelot ne mâche pas ses mots. Sur le plateau de C à vous, l’ancienne ministre de la Santé déplore leur attitude.

Le sens de la formule et de l’analyse... Ce jeudi 18 avril, Roselyne Bachelot était invitée sur le plateau de C à vous (France 5) pour commenter l’actualité politique. Au programme : les déclarations de Marine Le Pen et de François Hollande sur Gabriel Attal. 100 jours après son arrivée à Matignon, sa nomination continue de faire réagir l’opposition.

Pour Marine Le Pen : « L’autorité va à Gabriel Attal comme un tablier à une vache ». Quant à ses qualités, elles résidaient surtout dans la « communication » : « C’est d’ailleurs pour cela qu’il a été successivement porte-parole du parti, puis du groupe, puis du gouvernement. Il est maintenant porte-parole du président ». 

Roselyne Bachelot déplore l’attitude de Marine Le Pen et François Hollande

François Hollande ne mâche pas non plus ses mots. Invité sur le plateau de C à vous, cette semaine, l’ancien président note : « Le Premier ministre, Gabriel Attal, ne ressemble pas à Emmanuel Macron, même s’il peut y avoir des similitudes ».

Et ajoute : « Il ressemble à Nicolas Sarkozy, c’est vrai. C’est frappant même ». Avant de détailler : « Même gestuelle, mêmes mots, mêmes formules, mêmes communications, même utilisation du ’je’ à toute épreuve ». Pour Roselyne Bachelot, les déclarations de François Hollande et de Marine Le Pen sont « la plus mauvaise façon de faire de la politique ».

Roselyne Bachelot tacle Marine Le Pen et François Hollande

Face à Anne-Elisabeth Lemoine, l’ancienne ministre de la Santé déplore une « petite politique (...) d’un côté comme de l’autre ». Pour elle, les propos tenus par la cheffe de file du Rassemblement national sont « vulgaires » : « Ce n’est pas convenable ». Elle l’invite à proposer des mesures si elle estime que les actuelles « ne sont pas suffisantes », plutôt que de parler de la sorte.

Quant à François Hollande, elle note : « C’est lui qui est obnubilé par Nicolas Sarkozy... Il fait vraiment une fixation ». Roselyne Bachelot conclut, non sans ironie : « Mais ça se soigne très bien ».